Légères et délicates, toutes le finesse et le raffinement de petites geishas, ces jolies boucles d’oreilles sont en bois peint.
Agrémentées de strass et ornées de fleurs en métal argenté.
Entièrement faites à la main, ces boucles d’oreilles sont déclinées en 6 couleurs. Un petit air de printemps dan sle pays du Soleil Levant dans ces boucles pour oreilles percées Made in Perche
C’est le moment de profiter des fêtes de¨Pâques pour vous parler des petites merveilles qu’etaient les oeufs de Fabergé. Il faut tout d’abord savoir qu’il était d’usage d’offrir des oeufs décorés à Pâques, qu’ils soient naturels, en bois, en pierre ou matière précieuse.
Nous sommes en 1885.
Le Tsar Alexandre III s’apprête à fêter la Pâque, mais cette année-là marque aussi son 20e anniversaire de mariage avec la Tsarine Maria Fedorovna. Pour souligner l’occasion, il commande alors un cadeau exceptionnel à un jeune joaillier, Pierre-Karl Fabergé, dont les créations plaisent à l’impératrice.
L’œuf à la poule est livré à sa majesté le jour de Pâques et, à son ravissement, ce qui a l’air d’être un simple œuf s’ouvre pour révéler une surprise: un jaune qui contient une poule aux yeux de rubis.
Maria Fedorovna est ravie et Alexandre III décide alors de nommer Fabergé fournisseur officiel de la Maison impériale et de lui commander un œuf par an. Seules conditions: l’œuf doit être unique et il doit aussi renfermer une surprise digne d’une impératrice.
La tradition des œufs Fabergé est née et elle sera poursuivie par Nicolas II, jusqu’en 1917, qui en offrira un à sa mère – devenue veuve en 1894 – et à sa femme Alexandra Fedorovna tous les ans.
Au total ce sont 50 œufs qui ont été réalisés par les ateliers Fabergé pour le compte de la famille impériale russe (ce chiffre a été établi en 1997 et est cité par la fondation Link of Times, créée par Viktor Vekselberg dont le site officiel, entièrement dédié aux oeufs Fabergé est d’une beauté à couper le souffle).
De plus, 15 œufs ont été commandés par de riches familles dont 7 pour les Kelch. Chez Wikipedia (en anglais), on trouve le chiffre de 105 œufs au total, créés par la maison Fabergé.
Les oeufs Fabergé, de même que toutes les possessions de la famille impériale russe, sont confisqués par les Bolchéviques lors de la révolution de 1917. Un seul œuf serait sorti de Russie à cette époque, l’œuf à la croix de Saint-Georges (le dernier oeuf offert en 1916 par Nicolas II à sa mère) lors que l’impératrice Marie Feodorovna réussit à prendre la fuite sur le navire de guerre britannique Marlborough. Sur ordre de Lénine, les œufs sont transportés au Palais des Armures du Kremlin où ils restent dans des boîtes jusqu’à l’arrivée au pouvoir de Staline.
Or, le nouveau maître du Kremlin a besoin d’argent. En 1927, il fait ouvrir des caisses d’objets ayant appartenu à la famille Romanov et tombe sur les œufs. Mais, parce qu’ils sont associés à la famille impériale, les œufs Fabergé sont sous-évalués (pour la petite histoire Agathon
Fabergé, fils de Pierre-Karl est emprisonné à la révolution, sorti de prison pour évaluer les bijoux des Romanov puis remis sous les verrous quand le Kremlin n’arrive pas à vendre les objets aux prix estimés). Les œufs commencent à sortir du pays dans les années 1930… en pleine Grande dépression. Armand Hammer, un entrepreneur américain et ami personnel de Lénine se charge d’écouler les pièces aux États-Unis, où, à cause de la crise économique, ces œuvres d’art sont parfois vendues à des prix dérisoires (500$!). Il a alors la brillante idée d’exposer les œufs Fabergé dans des grands magasins afin d’en assurer la promotion. Ça marche et quelques riches américains qui ne sont pas trop touchés par la Grande dépression en achètent quelques-uns, c’est notamment le cas de la famille Forbes qui en achète neuf.
Vendue par aux enchères par Sotherby’s en 2004, la collection des neuf œufs Fabergé de la famille Forbes (qui comprend d’ailleurs le tout premier, l’œuf à la poule ) a été entièrement rachetée par l’oligarche russe Viktor Vekselberg pour une somme estimée entre 90 et 120 millions de dollars. Plusieurs autres œufs dont désormais partie de collections privées (certains ont été exposés en 2004 au Kremlin) et PBS mentionne d’ailleurs que la famille de Monaco en possède un. Certains sont exposés , les cinq oeufs Fabergé du Virginia Museum of Arts , ceux de la collection de
Matilda Geddings Gray, qui ont été exposés au Cheekwood’s Museum of Art de Nashville, ceux de la Collection de la Reine d’Angleterre, les deux du Hillwood Museum, ceux du Cleveland Museum of Art et enfin ceux qui se trouvent à la Walters Art Gallery de Baltimore.
Si vous êtes comme moi fan de Harry Potter, vous ne manquerez pas cette exposition sur l’apprenti sorcier
Le prix des places est compris entre 17.00 et 22.00 €
Dates : du samedi 4 avril 2015 au dimanche 6 septembre 2015
HARRY POTTER™ : L’EXPOSITION VA ENSORCELER LA FRANCE DEPUIS LA CITÉ DU CINÉMA
Plateaux de tournage 8 & 9, à SAINT-DENIS,
L’exposition internationale ouvrira ses portes le 4 avril 2015 et s’installera sur une surface de 2 000 mètres carrés à LA CITÉ DU CINÉMA, plateaux 8 et 9, à Saint–Denis.
C’est ainsi qu’à partir du 4 avril 2015, Les fans français de Harry Potter™ pourront fêter l’arrivée du printemps en pénétrant dans l’univers magique du célèbre apprenti-sorcier à l’occasion de la première française de l’évènement tant attendu « Harry Potter : L’Exposition ».
Le Kaiser Karl Largerfeld a annoncé la présentation d’un défile de Haute Fourrure à Paris, en juillet prochain, pour fêter ses 50 ans de bons et loyaux services à la maison italienne Fendi, dont il est le directeur artistique depuis 1965.
Évidemment, cette annonce n’a laissé personne indifférent et les associations pour la défense des droits des animaux se sont vite insurgées contre ce défilé de « Haute Torture » (comme le rappelle le site Vegactu, il faut soixante mignons petits visons pour réaliser un manteau d’un mètre de long).
Lagerfeld ne s’est pas fait prier pour répondre à la polémique et demande plus de cohérence aux détracteurs de la fourrure, qui ne prennent pas toujours le temps de balayer devant leur porte :
« Comment peut-on critiquer la fourrure en mangeant un hamburger et en portant des chaussures en cuir ? Car, quand même, le cuir, c’est de la fourrure épilée ! »
Certains pourraient dire qu’on ne s’indignerait pas pour des lapins. En mettant de coté les systèmes d’élevage et d’abattage des animaus, les lapins sont des animaux d’élevage, donc certains les mangent donc autant ne pas gâcher et utiliser la fourrure. De même pour les bovins et ovins. Mais aller tuer juste pour l’esthétisme des animaux ( c’est mignon vous savez le vison) qui sont parfois en voie de disparition, je trouve ça nul… et que ce type qui se prend pour un génie méprise à ce point les animaux, ça me révulse. Oui ce n’est pas parce qu’il gâte à outrance son chat ( il ne l’aime pas d’ailleurs c’est juste un accessoire vivant) qu’il respecte les animaux. Sous nos latitudes, nous n’avons pas besoin de porter de fourrure et il existe maintenant de nouvelles matières qui sont aussi chaudes et protectrices que la fourrure. De plus les mannequins décharnés qui servent de porte manteaux devraient refuser de porter des vêtements en fourrure.
Le défilé de Haute Fourrure de Fendi, qui aura lieu en juillet 2015 pendant la Fashion Week Haute Couture de Paris, risque de revoir son effectif de sécurité à la hausse : on n’est jamais à l’abri d’un petit coucou ensanglanté de la PETA !
Vous connaissez les bracelets qui recueillent un tas de données sur votre mode de vie.
Mais un bracelet qui change de motif selon vos envies ? et bien c’est possible
C’est un bracelet connecté qui change d’apparence au gré de vos envies. Le Tago Arc a été mis au point en Hongrie par la start-up LIBER8. Cet objet utilise de l’encre électronique pour changer d’aspect en quelques secondes. Le Tago Arc se connecte avec votre smartphone grâce à une application dédiée. Toute une palette de motifs vous est proposée. Il est également possible d’importer ses propres images ou celles de créateurs ou designers.
Le bracelet ne dispose pas de batterie interne et n’a donc pas besoin d‘être rechargé. Le smartphone communique avec le bracelet via la technologie NFC, un dispositif très répandu capable d‘établir une communication radio entre les deux objets soit en les faisant se toucher soit en les mettant à proximité.
Ce bracelet est disponible à la vente et coûte environ 300 euros. C’est cher, mais je gage que ce n’est que le début ! J’imagine déja de changer la couleur des murs du salon ou le dessus des meubles d’un simple clic ! Dingue non ?